La colère des filles. Notes pour transformer la colère en lucidité

Auteurs

  • Mariasun Landa Etxebeste

DOI :

https://doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.201934401

Résumé

Partant du désir d’une littérature non sexiste pour enfants et jeunes, l’auteure s’interroge sur la manière dont la créativité et la liberté de l’auteur/e peuvent être associées à de bonnes intentions, à un certain protectionnisme et même à une certaine censure qui a imposé le politiquement correct sur cette question. Si on peut créer une littérature non sexiste dans une société qui l’est toujours, sans créer un décalage entre la réalité et la fiction. Et elle nous rappelle, faisant allusion à trois auteures de référence pour elle (Simone de Beauvoir, Virginie Woolf et Astrid Lindgren), que l’écrivain/e doit écrire depuis son imaginaire personnel et sa liberté de création. L’écrivain ne peut pas l’abandonner parce que la littérature traduit son besoin de connaissance de soi, d’expression et de communication.
Mots-clés: littérature non sexiste, colère, politiquement correct, lucidité, liberté de création.

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Publiée

2020-04-29

Numéro

Rubrique

Voces de mujeres en la Literatura Infantil y Juvenil del siglo XXI

Comment citer

Landa Etxebeste, M. (2020). La colère des filles. Notes pour transformer la colère en lucidité. Ondina - Ondine, 3, 51-60. https://doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.201934401